Philippe Dejean, Carlo-Rembrandt-Ettore-Jean Bugatti, éd. du Regard, Paris, 1981, p. 174Véronique Fromanger et Jacques Chalom des Cordes, Bugatti, éd. de l'Amateur, Paris, 1987, p. 242Edward Horswell, Rembrandt Bugatti, une vie pour la sculpture, éd. de l'Amateur, Paris, 2004, pp. 119-121Le modèle en plâtre a été exposé à la Société Royale de Zoologie, Anvers, 1910. On ne connait que cinq exemplaires de cette sculpture. L'un d'eux a été exposé à Londres en 1979 dans le cadre de la rétrospective au Royal College of Art "Etonnants Bugatti". Le dernier exemplaire présenté en vente en 1990 provenait de la collection Alain Delon."Autour de 1910, Bugatti porta son attention sur les casoars, oiseaux curieux qui mêlent élégance et bizarrerie. Ils s'alignent sur un support un peu comme les éléments de l'un des services à thé de son père, sur un plateau. En même temps, ils paraissent mettre en valeur le développement du mouvement chez un seul oiseau, selon la façon dont les photographies d'Edward Muybrudge (...) relèvent le mouvement anatomique". Extrait de Edward Horswell, Rembrandt Bugatti, une vie pour la sculpture, éd. de l'Amateur, Paris, 2004, p. 119Cette pièce sera incluse dans la nouvelle édition du catalogue raisonné en préparation par Véronique Fromanger et Jacques Chalom des Cordes