Bonnard, Musée de l"Orangerie, Paris, octobre-novembre 1947, n° 1 - Centenaire de la naissance de Pierre Bonnard, Maison des arts de Munich, 8 octobre 1966-1er janvier 1967 et Orangerie des Tuileries, 13 janvier-17 avril 1967, préface d"antoine Terrasse, rMn, Paris, 1967, décrit et reproduit sous le n° 3 du catalogue - Pierre Bonnard, Palazzo Reale, Milan, 27 octobre 1988-8 janvier 1989, n°16 - Pierre Bonnard, Musée de l"Annonciade, Saint-Tropez, 4 juillet-5 octobre 1998, reproduit en couleurs p. 23 - Pierre Bonnard, Musée Maillol, Paris, 31 mai-9 octobre 2000, n° 2, reproduit en couleurs - Pierre Bonnard, Museum of art, Tel Aviv, 8 novembre 2000-10 février 2001, n° 2, reproduit p. 58 - Pierre Bonnard, Fondation Arpad Szenes-Viera da Silva, Lisbonne, 11 juillet-30 septembre 2001, reproduit en couleurs p. 15 «De retour au Grand-Lemps pour les vacances il fait un charmant portrait de sa jeune soeur et peint de menus paysages tout imprégnés de cette lumière du Dauphiné qui ravissait Jongking. Ces petites toiles nous montrent les maisons du bourg et les châteaux des environs, Virieu, le lac de Paladru, les montagnes dans le lointain et le bec de l"Échaillon. Plus larges que hautes elles font songer à Corot par le jeu et l"harmonie des valeurs - cette perception très sensible, la notation très fine des ombres et des lumières - par le sentiment aussi: une sorte d"humilité, de fraîcheur tout ingénue devant le spectacle de la nature.» Antoine Terrasse, Pierre Bonnard, éditions Gallimard, Paris, 1967